jeudi 16 mars 2017

Mini-chroniques #2

Je récidive avec le concept des mini-chroniques, sur le modèle découvert sur le blog Light and Smell. En effet, il y a certains livres que je n'ai pas forcément envie de chroniquer en long en large et en travers mais je n'ai néanmoins pas envie d'oublier mes impressions de lecture non plus. Voici donc le compromis : les mini-chroniques.

N'hésitez pas à me donner votre avis sur ces livres ! 

1. Calendar Girl Février d'Audrey Carlan

Mia se rend à Seattle où elle sera la muse d’un célèbre peintre français.
L’amour sur toile, tel est le titre de l’œuvre du bel artiste avec lequel elle va partager ce mois qui sera riche en émotions. Il faut dire qu’Alec est surprenant dans son travail et qu’il a cette manie si sexy d’utiliser des expressions françaises lorsqu’il s’adresse à Mia.

►► Avant même de lire ce deuxième tome, je savais que je l'aimerais moins que le premier. Pourquoi cet a priori (qui s'est confirmé à la lecture...) ? Parce que j'aimais bien le personnage de Wes et qu'il n'y avait pas de surprise quant au sort qui lui était réservé : Mia commence son deuxième contrat auprès d'Alec (personnage auquel je n'ai pas accroché) et bye-bye Wes. Après lecture, mon sentiment ne s'est vraiment pas amélioré. Dans le premier tome, on découvrait Mia : je ne vais pas dire que je l'adorais, mais ça allait. Dans le deuxième tome, qu'est-ce qu'elle me cassait les pieds ! J'ai trouvé certaines de ses réactions puériles, inappropriées et parfois carrément stupides. Je dois quand même dire que le livre se laissait lire mais j'ai franchement moins apprécié ma lecture de février que celle de janvier. Néanmoins, j'ai acheté le troisième tome et je vais continuer pour voir (oui, la curiosité est un vilain défaut mais bon...).

Note : 12/20


2. Scotland Yard, tome 1 de Dobbs et Stéphane Perger
3. Scotland Yard, tome 2 de Dobbs et Stéphane Perger

Londres, 1890. L’inspecteur Tobias Gregson est une des valeurs montantes du Yard. Mais sa carrière serait accélérée s’il n’était pas considéré comme un humaniste trop sensible et avant-gardiste, et surtout s’il n’avait pas pour fonction principale d’être le défouloir quotidien de son supérieur Lestrade. Alors lorsqu’un transfert de prisonniers ne se passe pas comme prévu, Gregson se retrouve au placard. Un blâme qui va vite se transformer en opportunité afin de démontrer sa vraie valeur aux yeux du patron des patrons, le commissionner Fix. À la tête d’une équipe atypique réunissant un gamin des rues, ancien informateur de Sherlock Holmes, un médecin psychiatre aux méthodes atypiques ainsi que son étrange assistante, Gregson va faire alliance avec le diable : coopérer avec la pègre londonienne pour traquer deux fous extrêmement dangereux qui ont profité du fiasco de l’opération de transfert pour se volatiliser. Deux aliénés mentaux qui vont apprendre aux citoyens de Londres la signification du mot terreur. À leurs côtés, plongez à votre tour au cœur des ténèbres…
À Londres, les jeunes femmes respirent de nouveau… Elles peuvent enfin sortir sans craindre de rencontrer celui que l’on nommait Carfax : ce tueur fou n’est en effet plus une menace, car il vient d’être mis hors d’état de nuire par les actions conjuguées de Scotland Yard et de la pègre.
Malgré ce succès l’inspecteur Gregson et son équipe savent qu’ils doivent mettre la main sur l’autre monstre qui s’est échappé de la prison de New Gate, et qui se cache toujours dans l’ombre. Sa traque finale débute alors que l’alliance entre policiers et malfrats montre ses limites.
Renfield, un nouveau cas clinique extrême pour le docteur Seward… Un terrifiant buveur de sang ayant régressé de façon quasi-animale après une enfance traumatisée. Un aliéné qui faisait trembler jusqu’à la plus grosse crapule de la prison. Un chasseur solitaire en quête de la seule chose qui puisse lui rappeler sa part d’humanité : les poupées d’une enfance brisée.

►► Quelle belle découverte à la bibliothèque ! "Scotland Yard" est une minisérie (uniquement 2 tomes) en bande dessinée qui fait partie de la collection "1800", qui présente donc des histoires se déroulant au 19e siècle. L'histoire (deux cas psychiatriques qui se retrouvent dans la nature et qu'il faut absolument retrouver) est donc très chouette en elle-même mais ce qui est intéressant dans ce diptyque, ce sont les références et le jeu de mise en abyme de l'auteur : Monsieur Stoker cherche de l'inspiration pour son nouveau roman et demande donc au chef de Scotland Yard de lui fournir des dossiers intéressants, par exemple, celui de Renfield, un malade mental qui boit le sang de ses victimes... Il est ainsi amusant de repérer les références, soit littéraires soit réelles (Wiggins, docteur Seward, Joseph Merrick, etc.).


Note : 15/20

Note : 16/20

Deux ados, pas vraiment copines, se retrouvent sur une butte, un après-midi d'été. Chacune a un gros secret à cacher. L'une, la Fausse blonde, à un frère handicapé mental. L'autre a vu ce garçon nu et est tombée amoureuse de lui, sans savoir qui il était. En une après-midi troublante, elles vont finir par remettre « le monde à l'endroit ».

►► Etant donné que je suis le MOOC sur la littérature de jeunesse, j'ai eu envie de me replonger dans ce genre de livre. J'ai donc pris à la bibliothèque ce petit livre des éditions du Rouergue : il ne fait que 120 pages et va très très vite à lire mais ce fut un désastre pour moi. Je n'ai vraiment rien aimé : ni les personnages, ni l'histoire, ni le début, ni la fin, rien. Je ne m'attarde donc pas trop dessus mais je serais curieuse de savoir si quelqu'un l'a déjà lu et ce qu'il en a pensé... Moi, je n'ai eu qu'une impression de malaise après l'avoir eu fini...

Note : 9/20

2 commentaires:

  1. Scotland Yard m'intéresse bien, mais à chaque fois seul le tome 2 est dispo. Il faudrait que je pense à réserver le 1 au lieu de râler :)

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  2. Calendar Girl ne me tente décidément pas ^^

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